témoignent de l’ébranlement de leurs certitudes et des petits ou grands changements survenus dans leur quotidien. Pour cette série, j’ai généralisé le collage de chutes de tissus pour les fonds. Sur les tableaux de petit format, les personnages «vintage» sont collés. Sur les plus grands, j’ai dessiné et peint toutes les scènes d’après des photos de Catherine Passerin. Cette évolution dans ma façon de travailler est liée au premier confinement, j’avais dû, moi aussi, m’adapter aux contraintes.